6 MOIS
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Farshid Tighehsaz
Free from freedom
Agence Seven
info@viiphoto.com
www.viiphoto.com
Farshid Tighehsaz est le
lauréat 2022 du Prix 6MOIS.
Né dans la ville de Tabriz, au nord de l'Iran, en 1987, il fait partie de cette génération qui a grandi après la révolution iranienne de 1979 et la guerre Iran-Irak (1980-1988). Depuis 10 ans, le jeune photographe documentaire dresse le portrait intimiste d'une jeunesse et d'une société en lutte contre la pauvreté et la dépression. Un cri intérieur qui résonne aujourd'hui à travers les manifestations de femmes, d'étudiants et de toute une partie de la population. Son projet Labyrinthe a été récompensé par le magazine français 6Mois pour sa 3e édition.
Mikael Naulin pour Blind
Né dans la ville de Tabriz, au nord de l'Iran, en 1987, il fait partie de cette génération qui a grandi après la révolution iranienne de 1979 et la guerre Iran-Irak (1980-1988). Depuis 10 ans, le jeune photographe documentaire dresse le portrait intimiste d'une jeunesse et d'une société en lutte contre la pauvreté et la dépression. Un cri intérieur qui résonne aujourd'hui à travers les manifestations de femmes, d'étudiants et de toute une partie de la population. Son projet Labyrinthe a été récompensé par le magazine français 6Mois pour sa 3e édition.
Mikael Naulin pour Blind
Fabiola Ferrero
I can’t hear the birds
6MOIS
www.6mois.fr
m.bacigalupo@6mois.fr
Fabiola Ferrero est la lauréate 2021 du Prix 6MOIS, ex aequo
avec Seïf Kousmate.
Née à Caracas en 1991, elle est une photographe vénézuélienne. Journaliste de formation, elle met l’émotion au cœur de son travail. Pour raconter la chute de son pays, où, sur 28 millions d’habitants, plus de 5 millions ont été contraints à l’exil, elle choisit une écriture intime. «Je ne me demande pas ce qui s’est passé pour que le pays de mon enfance devienne ce qu’il est aujourd’hui mais comment cela affecte nos âmes.»
Gardienne des maisons vides de sa famille, elle raconte avec ses photographies ce pays qu’on déserte.
Née à Caracas en 1991, elle est une photographe vénézuélienne. Journaliste de formation, elle met l’émotion au cœur de son travail. Pour raconter la chute de son pays, où, sur 28 millions d’habitants, plus de 5 millions ont été contraints à l’exil, elle choisit une écriture intime. «Je ne me demande pas ce qui s’est passé pour que le pays de mon enfance devienne ce qu’il est aujourd’hui mais comment cela affecte nos âmes.»
Gardienne des maisons vides de sa famille, elle raconte avec ses photographies ce pays qu’on déserte.